
“Il faudrait terminer tout ce qu’on commence”
(Jésus Blier)
Je repense à mes amours, à ce fameux tableau surréaliste
Je compte les jours. Quand pourrais-je poser mes genoux à tes pieds, te compléter en te chérissant de ma passion ?
Le message c’est qu’il fallait que tu me quittes.
Troublant, n’est-ce pas ?
Car tous n’est qu’une partie du tout.
Un an ? Je t’en demande deux ! Pour la chance qu’il faut savoir préserver.
Le temps est sans retour, sans détours
L’ami cassé dans ses souhaits les plus chers. Sont-ils fous ?
La famille, mathématique jusqu’à la moindre fraction, nous lirons ton nom.
Le grand-père oublié.
Les autres assassinés de ta propre main.
Les détours ? Le retour ? Les chemins qui croisent ton fer sur le galop de ma lance.
Je n’ai pas terminé. Léo criant sa joie sur l’avant-scène de mon générique.
Il reviendra, avec ses gaules et sa trique !
Le mensonge est oublié.
Le temps ? Il n’est que dans cet automne, de mon hiver sans fin, essuyant les larmes à ta guise, fussent-elles, sobrement, à la lumière des grands du bahut.
Ton histoire ? Je l’ai déjà réglée sur le temps qu’il te reste, à assassiner une femme, pour quelques poussières acquises.
Lettre et le nez-an !
FLG